Courrier des lecteurs·trices
Bonjour !
Je remercie sincèrement toutes celles et ceux qui, après la lecture de mes romans, prennent le temps de me faire part de leurs impressions.
J’apprécie ces marques d’intérêts qui encouragent et fortifient la « jeune auteure » que je suis. Je réponds toujours à ces courriels, lettres ou messages téléphoniques ; même si je le fais parfois avec un peu de retard. Comme vous pouvez l’imaginer, il y a toujours l’appréhension tapie derrière l’auteur après la naissance d’un ouvrage. Alors, s’il vous plaît, n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires quels qu’ils soient.
Bien cordialement,
Sylvie Orsini
Courrier des lecteurs·trices / Thaddeus et le Graal
Avis reçu sur Amazon.it
J’ai vraiment adoré « Thaddeus et le N’Graal ». Quelle histoire passionnante ! Quelle écriture !! Merci pour ce bon moment passé avec Camil et son protégé Andres.
Comme Camil le dit : « Il ne faut jamais oublier le vieil adage de l’archéologue, toujours d’actualité : « L’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence ».
C’est génial, les rebondissements et des explications inattendues. Tout ce qui fait un bon roman. Merci pour ces belles pages qui me resteront longtemps en mémoire.
Sylvie !!! J’aime beaucoup votre style. Vous méritez que le monde du livre vous ouvre grand ses portes, que votre nom circule. Cette histoire m’a vraiment touchée. Je conseille vivement l’achat de ce roman… Avoir quelqu’un qui nous guide, ça vous donne une sorte de « super-pouvoir ». « Un super moment qui fait aussi réfléchir ».
On a envie de crier : « Oui, oui ! Tout le monde devrait lire Thaddeus ! ».
Comme Camil le dit : « Il ne faut jamais oublier le vieil adage de l’archéologue, toujours d’actualité : « L’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence ».
C’est génial, les rebondissements et des explications inattendues. Tout ce qui fait un bon roman. Merci pour ces belles pages qui me resteront longtemps en mémoire.
On a envie de crier : « Oui, oui ! Tout le monde devrait lire Thaddeus ! ».
Pascale T.
Bonjour Madame,
Je suis une de vos lectrices. J’ai fait votre connaissance à la Fera di Venacu. J’ai acheté votre livre dont la couverture avait attiré mon regard.
J’ai posé votre livre comme un joli bibelot sur ma commode de séjour et tous les jours je l’ai touché, regardé et puis je le reposais sans le lire. Mais pourquoi me direz-vous ?
J’avoue que ce livre, votre livre, allait forcément me plaire et provoquer quelque chose que je ne saurais expliquer…
Je suis quelqu’un de très occupée et je ne pouvais pas ouvrir ce livre pour lui accorder seulement quelques minutes par jour, alors j’ai attendu le bon moment, le moment où rien ne devait interrompre ma lecture, me dissiper où me distraire, je savais que j’allais partir en voyage et m’arrêter seulement si la fatigue me l’imposait.
Oui, vous m’avez fait voyager et revisiter les pays du soleil que je connais si bien.
Vos descriptions m’ont envoûtée et m’ont replongée là-bas comme si j’y étais encore.
Merci !
J’ai eu une intervention chirurgicale et je devais me reposer… dans ma lecture le repos fut tellement plus doux.
J’aimerais beaucoup lire à nouveau tous vos personnages dans une suite et retrouver tous ces sentiments, ces parfums, ces couleurs et cette chaleur.
Voilà Sylvie, je voulais vous l’écrire.
Bien à vous. Pascale T.
Chère Pascale,
Un grand merci pour votre fidélité en tant que lectrice, et je suis touchée que vous ayez pris le temps de partager avec moi votre ressenti sur ce dernier roman.
Votre message est un véritable rayon de soleil pour un auteur, et je suis particulièrement émue par la manière dont vous avez laissé le livre prendre place dans votre quotidien avant de vous y plonger au moment qui vous semblait propice.
Je suis ravie que mon récit vous ait fait voyager à nouveau dans ces contrées que vous connaissiez si bien, et que mes descriptions aient pu raviver ces souvenirs en vous. Savoir que mon livre a pu accompagner votre repos après une intervention chirurgicale et rendre ce moment plus doux est, pour moi, un immense cadeau.
Malheureusement, il n’y aura pas de suite aux aventures de ces personnages, bien que j’aurais tant voulu continuer à les suivre dans de nouveaux voyages à la découverte d’autres reliques. J’ai pris énormément de plaisir à développer cette histoire et à partager leur parcours avec mes lecteurs. Cependant, je crois avoir tout donné dans le genre du roman historique pour l’instant.
Peut-être est-il temps pour moi de découvrir de nouveaux horizons et d’explorer d’autres thématiques.
C’est avec un mélange de nostalgie et d’excitation que je me tourne vers l’avenir, ouverte à de nouvelles inspirations et histoires à raconter.
Encore une fois, merci pour votre soutien et vos mots chaleureux.
Bien amicalement,
Sylvie
Josselyne
Bonjour Sylvie,
L’été se termine en pente douce et j’espère que tout s’est bien passé.
Je viens enfin vers toi après la lecture de Thaddeus…
Je dois te dire que je l’ai commencé mi-juin et qu’un événement tragique survenu le 18 juin, a mis fin à mes envies de lecture.
Plus de deux mois sont passés et il y a quelques jours, j’ai repris le livre au début et je ne l’ai plus lâché jusqu’à la fin !
Les premiers chapitres sont un peu déstabilisants, mais on s’adapte vite au fait de changer d’époque.
La fiction et la réalité se mélangent et comme tu le dis, chacun prend ce qui lui convient. Je suis croyante et l’histoire de Thaddeus m’a beaucoup touchée, ainsi que le travail acharné des deux archéologues.
Je ne suis pas surprise que ton travail ait duré quatre ans !
Tout est documenté, argumenté, rien n’est laissé au hasard.
Bien sûr, la Corse est un personnage incontournable du roman, toujours présente…
Que dire de plus ?
J’espère que les retours sont bons et que ton travail sera récompensé.
Un bravo particulier à ton papa pour ses illustrations qui sont magnifiques !
Une vraie famille d’artistes !!!
Je souhaite à ton roman le succès qu’il mérite.
Bonne continuation et si tu viens du côte d’Ajaccio, préviens moi !
Avec toute mon amitié.
A prestu
Chère Josselyne,
Je dois avouer que j’étais un peu étonnée de ne pas avoir eu des nouvelles plus tôt, mais maintenant je comprends mieux et je partage sincèrement ta douleur.
Je tiens à te remercier du fond du cœur d’avoir pris le temps, malgré tout, de lire et relire mon roman, et de m’avoir fait part de ton ressenti. Ton commentaire, si encourageant, m’a profondément touchée. Comme tu le sais, l’appréhension accompagne toujours un auteur après la publication d’un ouvrage, et encore plus dans le cas de celui-ci, vu les sujets abordés.
Tes mots on vraiment été un baume pour mon cœur.
Je n’oublierai pas de transmettre tes félicitations à mon papa, qui est très fier de son beau travail. Il a vraiment mis beaucoup d’efforts dans ce projet.
Enfin, je tiens à te dire que je souhaite de tout mon cœur que tu trouves la force de surmonter cette épreuve, entourée d’amis aimants et soutenue par ta foi en un avenir meilleur.
Je ne manquerai pas de te prévenir si je prévois un passage à Ajaccio. Ce sera un grand plaisir pour moi de partager un moment avec toi.
Ti tengu caru
Sylvie
Evelyne
Chère Sylvie, lu d’une traite tellement c’est FA-BU-LEUX.
Et quel incroyable travail de recherches documentaires et d’analyse effectué pour un résultat bien plus que passionnant transmettant Le message d’Amour du Christ, Le ressuscitant encore dans nos cœurs… Et j’y ai retrouvé de très similaires péripéties de la vie de feu de mon oncle, un père dominicain archéologue et grand théologien qui avait participé aux fouilles de la Mer Morte, notamment à Qumran. Il passait sa vie à parcourir les bibliothèques du monde pour ses recherches sur la vie de Jésus et les esséniens et à faire des conférences. Il parlait toutes les langues mortes dont l’araméen. Il a échappé de justesse à un assassinat, y laissant une jambe. Il laisse de nombreuses publications dont certaines accessibles par Internet : père Léon Ramlot (Francis pour l’état civil). Si tu pensais donner suite, je te recommande aussi la lecture d’un roman intitulé QUMRAN d’Eliette Abbecassis. Ed. Ramsay.
Encore mille bravos et toute ma gratitude pour ces grands plaisirs à te lire. Bien chaleureusement. Vous embrasse.
Très chère Evelyne,
Tes magnifiques paroles m’ont tellement touchée que j’en ai presque eu les larmes aux yeux en les lisant ! Ce qui m’a le plus émue, ce n’est pas tant que tu considères mon livre comme fabuleux, mais plutôt que tu aies perçu, dans ce long travail de recherche et d’analyse, un véritable témoignage de l’amour que le Christ a prodigué tout au long de sa vie terrestre. Il nous offre, à nous, humains pécheurs et imparfaits, non seulement un exemple parfait à suivre dans nos actes et nos paroles, mais aussi un espoir de salut éternel pour tous ceux qui souhaitent demeurer dans son amour.
J’ai été également fascinée en découvrant le formidable parcours de ton cher oncle, Francis Ramlot, un homme d’une grande envergure qui a su lier sa foi profonde à une érudition remarquable. J’en sui presque venue à envier sa vie, parsemée de péripéties et parfois d’embûches, mais enrichie par une quête profonde de la connaissance des Evangiles et de découvertes passionnantes !
Je te suis infiniment reconnaissante pour ce beau témoignage et pour tes nouvelles suggestions de lectures que je ne manquerai pas d’ajouter à ma longue liste d’ouvrages à découvrir.
En attendant, je t’adresse toute ma reconnaissance pour ces sentiments que tu as pris le temps de partager avec moi, et qui me réchauffent le cœur.
Bien affectueusement,
Sylvie
Jean-Claude W.
Histoires (au pluriel, car en vérité il y en a deux) passionnantes de bout en bout.
Curieusement lorsque l’on est dans une histoire on a que hâte de retourner dans l’autre…
Certaines scènes très connues sont vues sous un angle peu commun et cela donne à l’événement un cachet tout particulier qui éveille en nous un sentiment de vouloir partager… (genre : j’ai vu, il faut que je te raconte).
La fin est dans la même veine que l’histoire, c’est à dire : surprenante…, un village (insignifiant) perdu et peu connu mais…
Cher Jean-Claude,
Je suis ravie de lire que les deux histoires ont captivé ton attention et suscité une telle curiosité entre elles.
Ton appréciation pour la perspective unique sur des scènes bien connues me touche particulièrement.
Quant à la fin, je suis heureuse qu’elle t’ait surpris et laissée avec le sentiment inattendu que je cherchais à provoquer.
Merci infiniment pour tes mots qui sont pour une auteure, un véritable trésor !
Sylvie